Responsabilité des particuliers
Les risques
Souvent appelées « crises cardiaques », les ACR n’arrivent pas qu’aux autres…
Songez au nombre de personnes qui séjournent ou « passent » à votre domicile :
- votre partenaire et vos enfants bien sûr
- vos parents et grands-parents
- vos amis
- les copains/copines de vos enfants
- les voisins
- les autres visiteurs (facteurs, livreurs, dépanneurs, etc…)
Cela représente en moyenne 100 visites par an, soit sur une période de 50 ans une moyenne de 5 000 visites !
Si l’une de ces personnes est victime d’un ACR chez vous, vous pouvez la sauver !!
Mais, chez vous, avez-vous accès à un défibrillateur en moins de 2 mns ? Y compris la nuit et le weekend ?
Chacun connaît ou a eu connaissance d’un décès brutal par accident cardiaque, d’un proche, d’un ami, d’un collègue, d’un voisin, etc… et chacun se dit alors que c’est « la fatalité »…
Il n’y a pas de fatalité :
80% des victimes d’ACR pourraient être sauvées !!!
Conditions :
- intervention rapide d’un témoin
- présence d’un défibrillateur à proximité (moins de 2 mns)
VOUS AUSSI, VOUS POUVEZ SAUVER UNE VIE, CHEZ VOUS !!!
Le défibrillateur à votre portée
Certains défibrillateurs sont maintenant entièrement automatiques et chacun peut donc les utiliser très facilement et sans risques, ni pour soi-même ni pour la victime.
Depuis 2007 la loi autorise toute personne à utiliser un défibrillateur.
« Agir plutôt que de ne rien faire » !
Le prix des défibrillateurs a considérablement diminué au cours dernières années.
Les appareils adaptés aux logements coûtent aujourd’hui moins chers que les derniers smartphones.
Cela pour peut-être sauver une VIE !
Particuliers et copropriétaires
Si vous êtes en maison particulière, achetez un défibrillateur léger et bon marché que vous pourrez même emporter avec vous dans vos déplacements familiaux.
Si vous êtes en lotissement ou copropriétaire d’un immeuble, parlez-en avec vos voisins et avec votre Syndic pour équiper le lotissement ou l’immeuble d’un défibrillateur.
Les coûts sont alors négligeables car divisés par le nombre de maisons ou d’appartements.